Suicide au Technocentre : Renault condamné

juillet 2011

La cour d'appel de Versailles a reconnu le 19 mai la faute inexcusable de Renault dans le suicide, en 2006, d'un ingénieur au Technocentre de Guyancourt (Yvelines). Elle estime que le stress d'Antonio de B. était " exclusivement lié au travail " et pointe une " culture du surengagement " sur le site industriel. " C'est une première, dans le sens où c'est l'organisation du travail et la charge de travail qui sont mises en cause ", commente Me Rachel Saada, avocate de la famille du salarié.