© Christophe Boulze
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Tête chercheuse et cheville ouvrière sur les TMS

par Nathalie Quéruel / juillet 2021

Entrée à l’Institut national de recherche et de sécurité il y a vingt ans, Agnès Aublet-Cuvelier a contribué à remettre l’humain au cœur de la prévention des troubles musculosquelettiques, en déployant une approche pluridisciplinaire.

S’ils ne suffisent pas à la résumer, deux sigles s’imposent d’emblée quand il s’agit d’évoquer la personne d’Agnès Aublet-Cuvelier : INRS et TMS. L’Institut national de recherche et de sécurité, l’INRS donc, elle y fait carrière depuis l’an 2000, date à laquelle elle a été recrutée comme responsable d’études sur la prévention des troubles musculosquelettiques, les TMS. Cette juvénile quinquagénaire vient d’être nommée adjointe du directeur des études et recherches le 1er juin dernier. Pour prendre son poste, elle n’a eu que quelques pas à faire, entre deux bâtiments contigus sur l’immense site de Vandœuvre-lès-Nancy (Meurthe-et-Moselle). Avec autant d’allant que si c’était son premier jour dans l’institution paritaire.
C’est lors d’un stage pendant son internat de médecine du travail qu’Agnès Aublet-Cuvelier a découvert l’INRS de l’intérieur, au laboratoire de physiologie environnementale. La jeune femme avait abandonné déjà depuis quelque temps l’idée de devenir pédiatre. Le métier de son père, ingénieur des Mines, directeur aux Houillères du bassin de Lorraine et dans d’autres exploitations de sel, de plomb et d’argent dans l’Hexagone, n’est sans doute pas étranger à cette...

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